Monday, January 18, 2010

Replic No.206


On n'en parle pas assez souvent, mais il faut s'accorder à dire au'une loupe serre-tête a une réelle utilité dans notre hobby. En effet, le grossissement des loupes serre tête soulage l'accommodation en vision de près. Elle soulage les efforts du cristallin et de tous les muscles qui accompagnent l'œil. L'image visuelle qui se forme dans notre cortex est mieux appréhendé par notre cerveau et évite les migraines ophtalmiques. Pour le côté pratique, il est préférable d'avoir une loupe sur laquelle on peut adapter différentes dioptries. Un champ large de cette dioptrie est préférable à de petites lentilles. Les dioptries sont moulées et non surfa-cées comme le serait un verre optique. Il n'y a pas à proprement parlé de foyer optique dans ces dioptries moulées en plastique transparent. La casquette doit être relevante afin de pouvoir avoir une vision intermédiaire sans quitter la loupe serre tête. D'autre part, le grossissement apporté par cet instrument favorise considérablement la précision lors de collage, le positionnement et toutes les petites choses très méticuleuses à faire. Le confort visuel est réel et permet d'appréhender de petites surfaces ou de petites pièces avec aisance et sans se fatiguer la vue.

Replic No.213


La motorisation de la version Mk XIII offrait à l'appareil de bien meilleures performances, notamment à basse altitude, puisque c'était son domaine de vol pour les missions de reconnaissance nocturne. Celles-ci duraient une douzaine d'heures, et le Wellington avait une autonomie qui lui permettait de couvrir des distances de l'ordre de 3500 km. Ces vols n'étaient pas de tout repos, car ses moteurs de quatorze cylindres étaient grands consommateurs d'huile, et les équipages étaient obligés de transférer le précieux liquide vers les moteurs par pompage manuel. Il arrivait toutefois que les équipages fissent aussi plusieurs sorties par nuit. Le Group Captoin Richard Bowlen et ses "wing cos" à Melsbroek (code B58), le 24 décembre 1944. Suite à la disparition en Mer du Nord du G/Cpt P. Ogilvie, il dut quitter son poste au SHAEF pour reprendre le commandement de son ancienne unité, le Wing PR 34, fort de trois Squadrons: le 16 sur Spitfire, le 140 sur Mosquito, et le 69 sur Wellington. Les trois types d'avions sont sur ce cliché. On voit bien le nez différent du "Wimpy".