Saturday, October 31, 2009

Steel Masters No.56


Pour faire face au renforcement de la résistance viet-minh et à l'augmentation de sa puissance de feu, le commandement français doit se procurer du matériel plus lourd, blindé et plus puissant. Celui-ci existe : il s'agit des LVT, ou Alligators, qui sont blindés et disposent d'excellentes qualités nautiques. Des exemplaires sont achetés aux Américains et testés à Arzew, en Algérie. L'arrivée des LVT va transformer complètement l'emploi des crabes et des groupements amphibies, car « il ne s'agit pas d'utiliser le LVT, en plus des Crabes et de l'infanterie comme un complément plus ou moins embarrassant mais de reformer, pour le combat amphibie, le trinôme : reconnaissance, char, infanterie, qui a fait ses preuves dans les groupements tactiques de la Guerre 1944-1945. Il s'agit de transformer les Crabes en véhicules de reconnaissance et d'utiliser les LVT comme porte-canons et transports d'infanterie ». Les escadrons de Crabes, en tant que tels, ont donc vécu, et pour mieux correspondre aux transformations opérées par l'apparition du LVT. chaque escadron devient le noyau d'un « Sous-Groupement Amphibie » qui, outre ses pelotons de crabes antérieurs, comprend 8 LVT et une compagnie portée.

Detailing Scale Model Aircraft


This is the most comprehensive book on detailing model aircraft ever written. It documents with step-by-step detail and hundreds of closeup photographs how to turn an average model into a detailed masterpiece. Dozens of simple techniques will teach you how to add detail to cockpits; scratchbuild interiors, seats, and seat frames; and add interior details such as piping, switches, and dials. You'll learn how to modify and improve kit-supplied parts; detail engines and intake and exhaust ports; how to add detail to wheel wells and landing gear; how to remove, modify, and reattach control surfaces, hatches, and access panels; and add rigging and control cables to biplanes. An entire chapter is devoted to tips and techniques on everything from seam removal to masking clear parts and applying and weathering decals. Whether your modeling tastes are propeller-driven aircraft from the First or Second World War or the sleek jet fighters of today, this book is for you!

Thursday, October 29, 2009

Steel Masters No.10


L'armée norvégienne est d'une faiblesse évidente en 1940. Le parti travailliste, au pouvoir depuis 1935, a longtemps considéré que l'armée était non seulement un repaire de réactionnaires mais aussi un poste budgétaire trop important par rapport à celui des affaires sociales. En conséquence, le budget de la défense est resté au plus bas jusqu'en 1937, date à laquelle le comportement agressif du voisin allemand a commencé à faire peur. En 1938, la somme allouée à l'armée n'est encore que d'une livre sterling de l'époque par habitant, un chiffre dérisoire. Le début de la guerre en Europe conduit à une mobilisation de la marine royale mais celle-ci ne dispose que de moyens insignifiants : l'un de ses bateaux date de 1858 et les quatre « cuirassés de défense côtière » sont de la fin du siècle dernier ! Seuls quatre des sept destroyers sont modernes, ce qui montre à l'évidence que la marine à elle seule sera incapable de repousser une invasion. L'armée de terre n'est pourtant pas, elle non plus, en mesure de s'opposer à l'ennemi, quel qu'il soit. Ses six divisions ne sont pas mobilisées entièrement, à l'exception de la 6e, dans le grand Nord, en raison de la guerre russo-finlandaise. Les cinq autres ne sont que sur un pied de guerre minimal, si l'on peut dire, que les Norvégiens appellent « surveillance de la neutralité ». L'armée ne possède pas de chars. Les cinq forteresses côtières, qui protègent notamment le fjord d'Oslo, possèdent une garnison d'artilleurs mais aucune infanterie pour lutter contre un assaut terrestre.

Wednesday, October 28, 2009

Steel Masters No.25


Les Britanniques déplorent la perte de 200 blindés et environ 60 000 hommes en un mois de combat. Mais des renforts et des chars américains doivent arriver et l'accalmie est mise à profit pour renforcer le dispositif défen-sif d'EI Alamein. Le 15 août 1942, le général Alexander prend le commandement du Western Désert et Montgo-mery est à la tête de la 8th Army. Ce changement va influer sur la stratégie et la tactique. En effet, les effroyables pertes des unités blindées conduisent Montgomery à la prudence et il fait enterrer ses chars sur un périmètre défensif. Les ordres sont de contenir les assauts et non plus de rechercher le contact à tout prix. Le problème de Rommel est plus pressant. Au cours de la première bataille d'EI Alamein, ses effectifs en blindés sont tombés jusqu'à 38 chars le 13 juillet 1942; les pertes en hommes sont de 2 300 morts et 7 500 prisonniers. La Panzerarmee est épuisée. Si les chiffres penchent en faveur de l'Axe, les Britanniques ont cependant atteint leur objectif : stopper l'avance de Rommel. Comme le port de Tobrouk est inutilisable, tout le ravitaillement de l'Axe est débarqué à Tripoli ou à Benghazi puis transporté jusqu'au front, à plus de 1 000 kilomètres. La logistique est donc chaotique, sans compter les raids de la RAF et du LRDG. dont nous reparlerons dans un prochain article. De plus, la RAF et la Royal Navy interceptent la plupart des convois provenant d'Italie.

Tuesday, October 27, 2009

Steel Masters No.23


La retraite en combattant continue pendant presque toute la fin de 1944, par Viterbe, Poggibonsi. Florence, Viareggio. Le bataillon est toujours employé en ordre dispersé, au mieux par compagnie, mais le plus souvent par sections ou même char seul, ce qui va complètement à rencontre de la tactique d'emploi du Tiger. Le 10 septembre, les deux compagnies restantes (la troisième est partie pour Paderborn en attente de rééquipement) sont rassemblées à Reggio-Mestrino, puis envoyées au repos à Bologne. Elles sont pourtant transférées à nouveau le 15 septembre vers Rimini, puis Imola, Faenza, Cesena. Il ne reste que quinze chars opérationnels au 1er octobre, et dix au 30 novembre 1944. tous au sein de la première compagnie. La fin de l'année 1944 voit la réparation de plusieurs Tiger. dépannés de justesse lors des précédents combats, et l'arrivée de personnels de remplacement. Engagé en janvier 1945 sur Faenza. San Severo. Cotignola. le sPzAbt 508 cède le 12 février ses 15 derniers Tiger et un Bergepanther au sPzAbt 504 qui reste en Italie, puis retourne en Allemagne pour être reformé. Malgré un entraînement poussé sur Tiger II, il ne sera plus jamais équipé au complet, et sera engagé avec un Tiger I et six Pan-ther autour de Dortmund. la plupart des personnels servant comme fantassins. Les survivants seront emmenés en captivité par les Américains en mai 1945.

Monday, October 26, 2009

Steel Masters No.09


Le printemps de 1944 est une curieuse période pour l'armée allemande qui sait qu'elle va devoir faire face à des attaques massives aussi bien à l'est qu'à l'ouest. Sur le front russe, l'année 1943 a été catastrophique, avec la défaite de Koursk et le difficile repli vers l'ouest qui a suivi. Larmée rouge a porté ses efforts principaux sur le front sud et le manque de réserves blindées, dû aux pertes subies à Koursk, a empêché les Allemands d'arrêter les Soviétiques, contrairement à ce qu'ils avaient pu faire un an plus tôt, après la défaite de Stalingrad.
Durant les premiers mois de 1944, la situation est toujours critique pour la Wehrmacht. qui doit subir plusieurs batailles d'encerclement particulièrement coûteuses. Le 28 janvier 1944, les 1er et 2e fronts ukrainiens encerclent des éléments importants de deux Armeekorps dans Tcherkassy, qui totalisent environ dix divisions d'infanterie. Le général Hube, lançant le 3. Panzerkorps dans la bataille, parvient le 17 février à ouvrir un couloir au milieu du front soviétique, ce qui permet à environ 54 000 soldats allemands de s'échapper. Ce succès est de courte durée car quelques semaines plus tard, un désastre beaucoup plus grave menace.

Sunday, October 25, 2009

Modelar 2009 10


První a na dlouhé roky také jedinou stavebnici populárního britského lehkého průzkumného vozidla Daimler Dingo v měřítku 1:35 vydala ve verzi Mk.ll před více než třiceti léty Tamiya. Model byl rozměrově přesný, nicméně doba pokročila a po několika polyuretanových pokusech různých malovýrobců přináší na trh firma MiniArt celou rodinu stříkaných Daimlerů Dingo, od verze Mk.l až po Mk.lll, ve spojeneckých službách i s označením kořistního stroje. K recenzi jsem dostal poslední výrobní verzi Mk.lll, která se od předchozích liší zejména absencí pancéřových krytů bojového prostoru a vodě odolnou úpravou motorového prostoru, což jsou však změny, jež se na vzhledu modelu neprojeví. Pevná kartónová krabice obsahuje šest rámečků světle šedé hmoty, stavební návod s listem s barevnými schématy, samostatný rámeček se dvěma figurami (sedící řidič a stojící velitel vozu), čtyři kola, obtiskový aršík a rozměrný plech s leptanými díly krytý z obou stran čirou fólií. I přes malé rozměry vozidla model obsahuje úctyhodný počet dílů: 221 plastových a 110 kovových.

Thursday, October 22, 2009

Railroad Model Craftsman 2009 08


Along U.S. Highway 20 in southern Idaho, at a place called Hill City, there stand the remains of a cribbed grain elevator. For the eastbound passerby, on this way to "Somewhere" and finding himself in the middle of "Nowhere," the elevator first comes into view as the highway reaches the crest of a low hill and curves slightly. Suddenly, the weathered, blue-gray of the elevator rises skyward, interrupting the wide open spaces of the Camas Prairie, hinting that once upon a time, some time ago, life was lived here. A spot on the map now. Hill City, in its prime, was the terminus of the Hill City branch of the Oregon Short Line Railroad and home to nearly 300 residents. A handful of nondescript buildings remain now, but in the early decades of the twentieth century it was a complete town with daily train service. Some elderly residents of the Prairie say, emphatically, that at one time more sheep were shipped by rail from Hill City than any other place in the world, a claim all the more remarkable because there is rarely a sheep in sight today.

Wednesday, October 21, 2009

Wing Masters No.02


Troisième numéro de la série Luft-waffe at war, consacrée à l'étude de l'armée de l'air allemande pendant la Seconde Guerre mondiale sur tous les fronts, cet ouvrage, comme l'indique son titre, s'intéresse plus spécialement à la période du Blitz en Europe, époque à laquelle rien ne semblait pouvoir résister à la Luft-waffe. Hormis une introduction historique générale, ce livre, comme tous ceux de cette série, est exclusivement composé de photographies d'époque, certaines en couleur, accompagnées de légendes conséquentes. Ainsi c'est un large panorama des avions utilisés entre 1939 et 1942 par la Luftwaffe qui nous est présenté et l'on retrouvera donc sans surprise des chasseurs aussi célèbres que le Messerschmitt Bf 109 (dans ses versions C — encore en première ligne en Norvège en 1940 —, D, E ou même F), le Bf 110 ou le Focke Wulf 190. Les bombardiers ne sont pas non plus oubliés avec plusieurs vues de Heinkel 111, Dornier 17 ou Junkers 88, sans oublier bien entendu l'incontournable Stuka. Mais d'autres «oiseaux rares » peuvent également être rencontrés au fil des pages comme, par exemple, des FW 189 de reconnaissance, des bimoteurs de chasse Me 210 ou des hydravions torpilleurs Blohm & Voss Ha 140.

Tuesday, October 20, 2009

Verlinden Modeling Magazine Vol.3 No.1


Anyone involved in warfare operations will tell you that logistics and troop support can be vitally important in any conflict. This was all too well illustrated during WWII when roads across Europe were packed with convoys moving in either direction in support of the fighting GI's. This was somewhat different in Viet Nam where, because of the primitive road conditions, other means of transportation had to be found. For one there was the helicopter which turned out to play a primary role throughout the war ranging from MEDEVAC carriers to heavily armed gunships. The river seemed to be the alternative to ensure swift deployment of troops and equipment, or to perform patrol duties along the dense river banks. Apart from a few books and a brief appearance in some Hollywood movies, little has been shown on one of the more interesting aspects of the Viet Nam War, RIVERINE WARFARE. This may be the reason why modelers have not been requesting more kits of boats and other floating craft. Many modelers, fascinated by the subject had to convert existing kits or scratchbuild their own, both requiring endless hours of work.

Monday, October 19, 2009

Verlinden Modeling Magazine Vol.2 No.2


One of the least successful battles of WWII (from the allied viewpoint) was "Operation Market Garden". Although the goal of the operation was commendable and the setup was very promising. the outcome was not what the generals had expected. Operation Market Garden was a twofold undertaking. The airborne part, called Market, involved the US 82nd and 101st Airborne Divisions and the British 1st Airborne Division who would take all key bridges along the invasion road which would be used by Montgomery's 2nd Army to push through the Siegfried Line stronghold and into Germany (a ground operation called Garden). On 10 September, only six days before the actual invasion. MGen R.E.Urquhart (1st Airborne) was given orders to plan the invasion. Intelligence reports, which turned out to be wrong, indicated little or no German resistance. On top of that, some British officer carried the complete plans of the operation with him, while his glider was shot down. The information carried allowed the- Germans to take evasive action under the command of General-oberst Kurt Student, who was an expert in airborne tactics. Underestimating the German strength in the region, the slow speed of XXX Corps moving along the roads (due to heavy resistance) and airborne drops too far from the objectives were some of the mistakes leading to the lost battle. Few people could foresee the prophecy of LtGen Browning's words when he was claiming "This time we may be going a bridge too far".

Sunday, October 18, 2009

Model Railroad News 04 2009


MICRO-TRAINS has delivered the first release of their new Z-scale American Car 8c Foundry Smoothsidc 85-foot Passenger Cars. Decorated for the Union Pacific, the series includes a 44-seat coach, a dome observation car, a sleeper, and a combination baggage/mail car. The cars should be at your favorite Micro-Trains reseller. A second release was issued in February decorated for the Illinois Central. This month, the folks up in Talent are scheduled to release a set of Great Northern cars. Alaska Railroad cars and Amtrak cars are planned tor May and June, respectively. American Car & Foundry came into being when thirteen car builders merged on March 17, 1899. Like everyone else at the time, ACF originally built their railcars primarily from wood, but that changed in 1904 when the company delivered the world's first all-steel passenger car to New York City's Interborough Rapid Transit System. By 1912, all ACF passenger cars were built of steel. The company grew to become one of the leading suppliers of railroad passenger cars. Following a period of diversification, the company changed its name to ACF Industries in 1954 and built its last passenger car in 1959.

Saturday, October 17, 2009

Verlinden Modeling Magazine Vol.1 No.4


The value of a bulldozer for removing obstacles or debris became clear in WWII. The advantage of having such a device mounted on a combat tank, which in the mean time regained its fire power, was even greater. In WWII, dozer blades were mounted on the M4 Sherman which on many occasions came to the aid of stranded convoys while under fire, capable of anticipating any hostile threat. After WWII, dozer blade kits were mounted to the M46 and M47 tanks to further improve the system, but test results were considered to be unsatisfactory. However, when the M48 tank became available, a standardized M8 bulldozer blade assembly was fitted and more test runs were accomplished. This was in the late 1960's. Fitting of the bulldozer blade to the M48 called for a complex installation of the hydraulic feed lines to operate the blade assembly. With the arrival of the new M60 tank series, a study was made to simplify the hydraulic feed system. A modified version of the M8 blade, designated M9, only needed one hydraulic reservoir mounted on the left rear fender and dual feed lines running underneath the hull to the front of the vehicle. The M9 type bulldozer blade became the standard configuration and was also used on the M728 CEV (although with a different installation kit), an M60 derivative with a 165mm demolition gun in lieu of the 105mm gun and an operating boom/winch assembly fitted to the front side slopes of the turret.

Verlinden Modeling Magazine Vol.1 No.3


The BTR-60PB is an Armored Infantry Vehicle developed sometime in 1965 and it is still used today by the Soviets and their allies. Although the BTR-60PB was not designed an Infantry Fighting Vehicle in the true sense of the word, adding it's 14.5mm KPVT machinegun and six gun ports was a step in the good direction. This eight-wheeled vehicle is powered by two GAZ49 gasoline engines (diesel fuel is scarce in the USSR), which are also being used to power the BRDM-2. The vehicle has room for 3 crewmembers and an additional 8-man squad. THE MODEL. Regular VP customers will be familiar with the set-up of this Trophy kit. They look so much like the VP releases because the same casting method is used to produce these accurate replicas of a machine-tooled master model. To simplify casting and to eliminate shrinking of matching parts as much as possible, the hull is casted in one piece. A massive piece of resin measuring 200x80x45 mm (8x3x2in). Additional parts such as turret, hatches, wheels and headlights have to be cleaned from flash (which is virtually non-existent) and separated from the casting earner which can easily be done with a pair of flush-cut nippers.

Wednesday, October 14, 2009

The Verlinden Way - Military Models And Dioramas Volume 4


For those modelers who love ultimate detail and are charmed by aviation technology and everything it takes to fly an airplane, Esci has taken the initiative to produce large 1/12 scale cockpits of wellknown aircraft. The first kit to be released was the F-16 cockpit, followed by the F-104. The F-16 is reviewed here for the simple reason that the F-104 cockpit was not yet available when this book was set up. Opening the box is a breathtaking experience. First of all it takes a while to get used to the size of the model. The large bathtub and big parts of the seat and instrument panel is beyond the experience of most modelers. The detail is at first sight overwhelming. You cannot help but being amazed by the molding detail on the panels, switches, seat and so on. However, if you know your bits and pieces of the F-16 and start checking out the detail, you will find various mistakes. But they are not of such a nature that it is close to impossible to correct them. The biggest problem is the headrest of the seat. Even without correcting these faulty details the kit is very impressive when finished. The model depicts an F-16A block 10 cockpit, but for those who want to make a block 15 cockpit, it is a piece of cake. You just have to change the location of some panels and instruments and make two new ones. Our book 'Lock-on n° 2 The General Dynamics F-16 Fighting Falcon' will prove to be a great help both in completing the kit as is or converting it into a block 15. And if you want to go for the ultimate realism, we produce authentic film-type instruments for this model. Their use is depicted in this chapter.

Tuesday, October 13, 2009

Verlinden Modeling Magazine Vol.1 No.2


More prejudices surround figure painting than any other aspect of modeling. How many times have you heard, 'I would love to paint figures but you have to be a master to do it well', or, 'I couldn't do that even if I tried' when, in most cases they haven't tried. Many of us build impressive models, display them in well executed dioramas, and then leave out the most important part, the figures. Figures add more realism to a diorama than any other item, but there are many lifeless dioramas simply because we are afraid to take that first step, the dreaded face. The rest of the figure is something most people will attempt because it can be done with enamels, but, the face, that is done with oil paints. Funny, but there is something sinister about artist's oils to many modelers. In this section, we are going to attempt to dispell the anxiety of using oils and painting faces. Although there are many methods and styles, most are complicated and tend to discourage rather than encourage the beginning figure painter.

Monday, October 12, 2009

The Verlinden Way - Military Models And Dioramas Volume 1


THE collection of model armoured fighting vehicles (AFVs) provides for a diversity of interests. There are possibilities for modellers interested in tanks, armoured cars, self-propelled guns, modified trucks, etc., together with a wide range of all kinds of weapons, equipment and specialised uniforms. AFV modelling can begin with simple assembly and painting of a kit straight from the box but can also lead to the creation of impressive dioramas showing heavily weathered vehicles in realistic combat situations. There are several major factors to take into consideration when modelling AFVs. Firstly, assembly, then painting and weathering the vehicle; the assembly, conversion and the painting of figures to go with the vehicle and the creation of realistic setting. Let us begin with assembly. It is most important to study the instruction sheet very carefully; then make the decision which version you intend to make. There are radical differences between the appearance of a tank in the Western Desert and another on the Russian Front. Sometimes these differences can affect seriously very early stages of construction, applying, for example, to sandshields and the application of mud.

Sunday, October 11, 2009

Steel Masters No.16


Finalement, bien lui en a pris, puisque ce week-end du mois de mai s'est révélé être un succès, tant par le nombre des visiteurs que par celui des exposants. Pour la deuxième fois en un peu plus de six mois, l'exposition-concours était accueillie dans les locaux de l'université catholique, et de nombreux professionnels, venus de l'Europe entière (Angleterre, France, Allemagne, Hollande, et même Pologne) profitèrent de l'occasion pour montrer leurs dernières réalisations. Par ailleurs cette édition du Mons Meet présentait un intérêt supplémentaire pour tous les amateurs de maquettisme militaire puisque Tony Greenland avait fait le déplacement avec une partie de sa collection de modèles au 1/35. Ce Britannique talentueux, spécialiste des véhicules militaires de l'armée allemande en profita pour présenter son livre, compilant treize années de travail et dans lequel il fait partager son immense talent, chacune de ses maquettes étant à elle seule un réel chef d'œuvre.

Saturday, October 10, 2009

Steel Masters No.30


Le Zimmerit est parfois un obstacle dans la réalisation d'un blindé allemand et mérite qu'on s'y attarde pour démystifier une difficulté qui n'en est pas une. Le Zimmerit était un revêtement anti-adhésif contre les mines magnétiques et recouvrait les zones les plus plates et les plus accessibles, comme par exemple le glacis avant, les Schùrzen, etc. Le dessin en striures était le plus courant, mais on peut observer sur les photos de nombreuses variantes, plus ou moins dérivées des instructions de la société Zimmer. Le constructeur Alkett. par exemple, applique cet enduit sur ses blindés selon un motif en « gaufre ». Pour en revenir aux maquettes, la difficulté d'exécution est proportionnelle à la taille de l'engin ou aux coins et recoins que l'on doit atteindre. La première étape est de se créer un outil adéquat en rapport avec l'échelle, afin de reproduire l'effet de striures. Un mini-cutter Hergraphic et une de ses lames, cassée et meulée en rectangle, convient parfaitement et se tient dans la main comme un stylo. Quant à la matière, les différentes pâtes epoxy double composant conviennent parfaitement. La meilleure est la pâte Milliput en trois couleurs au choix, s'appliquant sur n'importe quel support.

Friday, October 9, 2009

Modeler's Eye Series 2 - FA-18 Hornet


The basis for the F/A-18 Hornet was the YF-17, which lost to the F-16 in the Air Force's LWF/ACF program. In the early 1970s, the US Navy was attempting to integrate the functions of the A-7 Corsair II and the F-4 Phantom II into one aircraft, known as the VFAX. Congressional spending limits would not allow the development of an entirely new platform, hence the decision to go with a carrier-borne version of the Air Forces LWF/ACF program. This YF-17 redevelopment program was known as NACF. As Northrop, the original developer of the YF-17, had no experience in the development of earner-based aircraft, they joined forces with McDonnell-Douglas, and began work on the project m September of 1974 (as McDonnell-Douglas was later acquired by Boeing, the Hornet is now known officially as the Boeing F/A-18). With new strakes, or leading-edge extensions heading out from the wings to the nose, and two huge vertical stabilizers positioned between the wings and horizontal tail fins, the now F/A-18 Hornet was officially approved in May of 1975.

Thursday, October 8, 2009

Steel Masters No.03


En octobre 1974, le général Tran Van Tra préconise une offensive dans la province de Phuoc Long. Les dirigeants d'Hanoi se montrent circonspects, en souvenir de leurs échecs en 1968 et 1972, mais le plan du général reçoit le feu vert et réussit de façon spectaculaire. Le président Thieu prend des décisions désastreuses. Il donne l'ordre aux unités de la NVA stationnées dans les hauts-plateaux du centre de quitter Pleiku et Konyum, tandis qu'au nord, la NVA doit abandonner Quang Tri sous la pression Les Etats-Unis ne réagissent pas face à ces revers, provoquant la panique et la débâcle. Hué tombe le 25 mars et Da Nang le 30. Le moral de la troupe est au plus bas. Habituée à mener une guerre de « luxe » à l'américaine, le combat de rizière sans Evasan par hélicoptères et appui aérien conséquent, avec de surcroît la corruption à tous les niveaux, ne lui est que plus insupportable. Le flot des réfugiés el des déserteurs qui se déverse sur les routes est le principal obstacle rencontré par la NVA. La rapidité de la victoire surprend les dirigeants d'Hanoi. Saïgon est à portée de main de la NVA. Le 26 avril 1975 à 17 heures, les canons de la campagne Ho Chi Minh tonnent. Le plan précise que le 27 avril au matin commenceraient les assauts contre les faubourgs de Saïgon. A l'aube du 30 avril, les premiers éléments nord-vietnamiens entrent dans la capitale.

Wednesday, October 7, 2009

Steel Masters No.12


Curieusement, c'est avant même l'heure H, le 6 juin 1944, que les premiers éléments de reconnaissance voient le feu, sur un terrain totalement impraticable pour les blindés, qui ne sont d'ailleurs pas engagés dans l'opération : deux détachements des 4th et 24th Cavalry Squa-drons sont débarqués deux heures avant l'heure H sur les îles Saint-Marcouf, afin de s'assurer de l'absence de toute garnison allemande. Ils ne rencontrent que des oiseaux de mer sur l'île du Large et sur l'île de Terre mais les pertes sont néanmoins assez sévères, en raison de nombreuses mines! Lors du débarquement sur le continent et durant les jours suivants, le 4th Cavalry Group ne livre pas de combat décisif mais, le 19 juin, il est engagé dans l'offensive finale contre Cherbourg. Le 24th Cavalry Squadron est placé en couverture sur le flanc droit, tandis que le 4th Cavalry Squadron est mis en ligne entre les 9th et 79th Infantry Divisions. La 9th Division commence son assaut à 5 h 50 et les 60th et 39th Infantry Regiments ne trouvent aucun adversaire devant eux, ce qui leur permet rapidement d'atteindre leurs objectifs, entre Rauville-la-Bigot et Saint-Germain-le-Gaillard. Le 4th Cavalry Squadron avance aussi vite jusqu'à ce qu'il se heurte à une solide résistance allemande à Rocheville, de telle sorte qu'à midi, il a pris du retard sur l'infanterie. Un bataillon du 359th Infantry Regiment vient à son aide. L'artillerie allemande retarde le Squadron lors de la reprise de l'attaque, dans l'après-midi, mais il parvient quand même à pénétrer dans Saint-Martin-le-Gréard, à la nuit.

Tuesday, October 6, 2009

Sky Model No.09


La scatola di partenza è il Fw 190 A8/R11 della Revell: ottimo dettaglio superficiale, begli interni, incastri precisi, ma anche vano carrello scatolato, centinature delle superfici mobili e cerniere dei vari pannelli in fusoliera esagerate per la scala. A questo va aggiunto che il portello a sinistra in fusoliera ha una forma trapezoidale anziché rettangolare, quello sul lato destro sotto l'abitacolo è troppo alto e che il tettuccio è da buttare. Nulla di drammatico comunque: la centinatura delle superfici mobili è stata "addolcita" con una passata di carta abrasiva, una spruzzata di stucco Tamiya (è quello in bomboletta-attenzione a non fare pastrocchi!) euna lisciatine con paglietta metallica da ebanisterìa. I portelli in fusoliera sono stati tutti reincisi con facilità grazie alla plastica morbida usata dalla Revell. Per quanto riguarda le cerniere, ho deciso di eliminarle; il vano carrello è stato ricostruito del tutto; ciò che ha reso delicato il lavoro, non è stato capire com'è fatto, la documentazione abbonda, ma usare del plasticard da 0,15mm per le centine: è così sottile che basta un po' di colla in più per spappolarlo!

Monday, October 5, 2009

Sky Model No.08


La scatola contiene circa 160 parti in plastica grigia. I singoli pezzi sono dettagliati all'estremo; le pan-nellature sono in negativo mentre alcuni pannelli sono rialzati. Il cockpit si può rappresentare a tettuccio aperto o chiuso grazie ai diversi componenti forniti dal kit. Le decals incluse consentono di realizzare due diversi esemplari. La sequenza di montaggio è divisa in 16 passaggi, i primi dei quali riguardano il cockpit, il sistema d'arma e la fusoliera. II cockpit e molto dettagliato e richiede la mag-gior parte del tempo di montaggio di questo modello a causa della lunga opera di colorazione. Se si desidera montare i tettucci aperti, occorre fare ancora piu attenzione perche tutto restera ben visibile a modello finito. Nel complesso si tratta di un kit del solito elevato standard Tamiya ed il montaggio si effettua senza particolari inconve-nienti. Le parti alternative come il dorso della fusoliera, le punte delle ali, il musetto solido e varie antenne, fanno pensare alia prossima edizione di un'altra variante.

Sunday, October 4, 2009

Sky Model No.04


Le prime macchine in dotazione furono gli onnipresenti Agusta - Bell AB 47, nelle versioni G e J, la cui introduzione consentì di mettere a punto le modalità tecniche e operative per la cooperazione fra unità aeree e navali e di ottenere i primi successi nelle operazioni combinate. Con il passare del tempo si fece sentire naturalmente l'esigenza di macchine più moderne e dalle prestazioni migliori; la soluzione cercata venne dalla italiana Breda - Nardi, che nel '69 aveva ottenuto dalla Hughes la licenza di produzione del Model 500 M, (versione militare da esportazione del Model 500 C), proposto anche alle altre Forze Armate italiane per la sostituzione degli ormai obsolescenti AB 47. Il nuovo elicottero a turbina offriva caratteristiche nettamente superiori per velocità e autonomia, ma anche ottime caratteristiche di volo, leggerezza, affidabilità, e facilità di manutenzione.

Saturday, October 3, 2009

Sky Model No.04


Sviluppato dalle officine Breda come velivolo civile, fu trasformato in aereo militare grazie all'interesse suscitato dai tanti record conseguiti. Fu però questo adattamento, unito ad una motorizzazione non eccezionale, la causa di tutti i difetti operativi della versione militare. L'aggiunta dell'armamento, delle apparecchiature radio, dei serbatoi maggiorati e della piccola stiva bombe appesantirono talmente il velivolo, da imporgli prestazioni mediocri, specialmente nelle operazioni a lungo raggio. Fu comunque prodotto in 1500 esemplari. Apparentemente il modello sembra discretamente ben realizzato, ma ad un esame più attento si notano numerosi errori che, uniti ad una scomposizione dei pezzi piuttosto bizzarra, mi hanno fatto sudare le proverbiali sette camicie. La fusoliera, stampata in un unico blocco, comprende anche le sezioni d'ala che vanno dall'intradosso alle gondole motore e parte delle gondole stesse. La prima fase consiste nello svuotamento dell'abitacolo del pilota e del mitragliere mediante una fresa; si aprono anche i finestrini relativi a queste aree.

Friday, October 2, 2009

Sky Model No.02


In aggiunta, il velivolo è stato dipinto con un'ampia selezione di livree mimetiche durante la sua lunga carriera operativa. Per questo motivo sono stato veramente contento quando, qualche anno fa, la Hasegawa ha messo in commercio sia il Bubbletop che il Razorback in 1/48. Anche se i kit della Hasegawa sono veramente fra i migliori in plastica ad iniezione, ho voluto realizzare alcune parti extra per dare un po' di vita a questo magnifico aereo. Poiché ho avuto la possibilità di realizzare un "N" per la boxart del set di superdettaglio Aires, ho atteso con impazienza i componenti di pre-produzione in resina del "D" della medesima ditta. Quando li ho ricevuti, ho potuto rilevare la presenza di un nuovo motore (PW 2800 "early") e di nuove paratie laterali del cockpit, a causa delle differenze tra il kit dell "N" Academy e del "D" Hasegawa.

Thursday, October 1, 2009

Model Railroader 06 2007


Inspiration for modeling projects can come from a variety of places, such as photographs, books, or magazines. Mine came from a plate. The artwork on the plate (at right) I purchased at a rural South Dakota antique store shows the elevator complex at Viborg, S.D. Though Viborg is a long way from Lake Beulah, Wis., the layout of the complex is similar to that of elevators in rural southeastern Wisconsin. The Lake Beulah elevator is typical of the clapboard-sided structures that were once commonplace in rural America. Though many of these structures were rendered obsolete as new, larger capacity elevators were built, some did survive. Many of the wood structures were sheathed with metal siding to protect them from the elements, and these elevators were used in secondary roles, including grain storage. Today, most elevators are of concrete construction and are designed to handle 110-car unit grain trains. Elevators are fun industries to model because they're loaded with detail and they're visually interesting. For example, the Lake Beulah complex includes an elevator, grain dryer, and two bins. Chutes from the elevator connect to the grain dryer and one grain bin.